Il peut paraître surprenant d’aborder dans cet ouvrage de nombreuses maladies dégénératives ou de civilisation, sans évoquer une seule fois les problèmes liés au sida. Pourquoi une telle position?

Ma position est très claire : c’est une question de respect. Respect pour les structures médicales en place. Respect pour toutes les associations nationales et internationales qui ont fait un travail extraordinaire depuis plus de vingt ans. Ces associations de malades, coordonnées par des malades, ont compris avant tout le monde l’importance du "terrain", qu’il soit biologique, alimentaire, mental ou émotionnel. Les approches thérapeutiques pluridisciplinaires et la coordination "holistique" des compétences humaines les plus diverses sont de règle depuis le début de cette "lutte". Une lutte qui inspire à tous les médecins et chercheurs une forte motivation, et plus encore du respect et de l’humilité.

Le "racolage", même involontaire, me semble interdit. Je ne fais donc allusion au sida ni dans mes titres ni dans mes textes. En l’abordant ici, en "annexe", sous forme de dialogue direct, je peux me permettre de répondre : "Oui !"

Oui, les outils de santé de la Delta-médecine peuvent accompagner durablement un parcours vers le mieux-être..., puis le bien-être.

Oui, je les pense utiles au quotidien pour soutenir la qualité de vie et l’espoir d’une rémission, d’un "silence viral" durable. Mais je laisse la décision d’"adopter" les réflexes de santé de la Delta-médecine à l’appréciation des associations (1) ou des particuliers qui croiseront mes écrits. Leurs intuitions seront plus fortes que mes convictions !


(1) Associations qui, soulignons-le, agissent aussi sur la "santé immunitaire" des patients, par la seule force et la qualité de leurs contacts humains !