Delta-Médecine : Modifier sa vie en douceur

Nous savons aujourd’hui que toutes les maladies de civilisation sont plurifactorielles : cancers, maladies dégénératives (neurologiques, articulaires...), maladies auto-immunes (sclérose en plaque, lupus...). Il faut donc essayer de bien repérer ces "plurifacteurs" qui participent à l’affaiblissement du terrain biologique pour le conduire jusqu’à un déséquilibre plus profond : la maladie.

Un facteur majeur est toujours cité, à tort, en premier, comme s’il s’agissait d’une malédiction : la génétique(1). Il est vrai que tous les troubles naissent et se développent en s’appuyant sur les "points faibles génétiques" de chaque individu. Mais, et c’est la première remarque fondamentale de la Delta-médecine : cette faiblesse génétique transgénérationnelle est plus ou moins rapidement mise au jour et plus ou moins violemment activée, prioritairement, par nos conditions et nos habitudes de vie.

Voici donc les cinq principaux "facteurs-acteurs" impliqués dans l’affaiblissement de notre terrain de santé ; impliqués dans la "construction" de toutes nos maladies chroniques, et tout particulièrement dans celles qui nous préoccupent ici : les cancers (2).

• Facteur n° 1 : la mauvaise gestion de notre respiration consciente (amplitude, rythme...).

• Facteur n° 2 : les déséquilibres et les carences alimentaires.

• Facteur n° 3 : les pollutions (notamment alimentaires et atmosphériques).

• Facteur n° 4 : l’excès de stress et de tension nerveuse.

• Facteur n° 5 : la mauvaise gestion-intégration de nos émotions (principalement le couple rancune / culpabilité, et les ressentis qui leur sont associés).

Certaines études cliniques (officielles mais très spécialisées) ont clairement démontré l’influence négative de chacun de ces facteurs, tant dans le déclenchement des maladies (leur "construction") que dans leur guérison (leur "déconstruction"). À côté des traitements standard et des protocoles accrédités (chimiothérapies, radiothérapies, corticoïdes et anti-inflammatoires au long cours...), de nombreux médecins hospitaliers ont pu vérifier l’importance d’une hygiène alimentaire adaptée, d’un apport optimal de certains acides gras insaturés et d’antioxydants ciblés (et surtout pas chimiques et inutilement surdosés) (3), d’une cure de désintoxication et de drainage de certains organes vitaux (foie, reins, tube digestif...), et d’une hygiène psycho-émotionnelle régulière (training autogène du Dr Schultz, sophrologie...) ou somato-psychique (marche consciente, méthode Feldenkrais, chant, contrôle du souffle...).

(1) Mais pas incontournable nous le verrons plus loin, dès lors que la maladie n’est pas congénitale.
(2) Ainsi que les maladies dégénératives, les maladies virales et les maladies auto-immunes.
(3) Nota : mais surtout pas chimiques et inutilement surdosés, pour éviter les effets dits paradoxaux (qui viennent aggraver la maladie au lieu de l’améliorer !).